37,2 le matin - Philippe Djian -

Ce que j’ai aimé :
L’écriture simple et directe
L’humour
Le sens de la repartie du narrateur
L’imprévisibilité. Histoire très guidé par les humeurs de Betty
Les différences entre les personnages
L’évolution du narrateur qui aspirait à une vie tranquille se retrouve à se dépasser par amour pour Betty
La capacité des personnages par moments de profiter des petits joies, à s’abandonner
Le thème de la maladie mentale A partir de quand les réactions de B sont attribuables à sa personnalité ou sont pathologiques ? L’acceptation par le narrateur
J’ai passé un bon moment.

Ce que j’ai moins aimé :
La fin (mutilation de B , son assassinat.) que j’ai trouvé trop violente très exagérée. Ce n’était pas nécessaire.
J’imagine plus que l’histoire se passe aux USA qu’en France.

Je revoyais jouer Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade pendant toute la lecture. J,ai beaucoup aimé le style de rédaction très années 80 et l'extrémisme du personnage de Betty, je me suis demandé si je ne devrais pas aussi faire comme Betty et peter les plombs en public plus souvent... tentant.

C'est toujours bon, mais plus de surprises à la deuxième lecture et 2 visionnements du film. Tout une époque...

J'ai essayé mais j'ai décroché assez vite.

Bon libre de vacances....J'ai beaucoup aimé le style de l'écriture, que je trouvais un peu simpliste au départ et qui s'est révélé pour moi une réelle poèsie avec toutes ces métaphores. Le rythme est bon, ralentit au milieu pour reprendre à la fin... J'ai bien rigolé....J'ai trouvé très beau cet amour que cet homme porte à Betty, son désir de l'aider du mieux qu'il le pouvait jusqu'au bout...

J'ai pas trop aimé, ni l'écriture, ni le récit et je ne suis pas allée au bout... mais je trouve quand même qu'il a bien de la patience ce gars là...

J'ai bien aimé l'ambiance, et le gars qui se prend pas trop la tête et qui fait ce qu'il peut, la démerde ...