Aie, mes aieux - Anne Ancelin Schutzenberger -

Aïe j’ai eu du mal. Il me semble que ces théories de pyschanalyse sont dépassées non? En tout cas elles ont vieilli. J’ai beaucoup de mal à croire que ce qui arrive à nos ascendants se répercute ainsi directement sur nous. Je crois à la génétique, aussi aux secrets de famille qui peuvent dévaster, mais pas que les familles sont hantées. Tant mieux si ce genre de bouquin a aidé des gens, mais en ce qui me concerne, ça ne m’a pas rejoint et m’a semblé sans intérêt littéraire.

Ce que j’ai aimé
Sujet
Les cas cliniques, le partage de l’expérience pratique
Découverte de certains mécanismes que je ne connaissais pas.
Ce que j’ai moins aimé :
Manque de fil conducteur à mon sens

J'ai lu quelques pages...

j'ai abandonné le début, mais relu avec plaisir les exemples, c'est fascinant ces liens intergénérationnels, ces histoires, ces événements qui se répètent ou qui marquent le développement des gens. Je me demandais si depuis l'écriture de ce livre la recherche avait fait d'autres avancées intéressantes dans ce domaine.

Je n'ai pas passé la première partie très répétitive.
Il semble que la deuxième partie soit plus intéressante, mais je n'avais plus le livre.

Finalement j'ai compris pourquoi mon père voulait tant que je fasse une grande école d'ingénieur et pourquoi la soeur ainée de ma mère ne s'est jamais mariée."Dis moi Jacqueline, qu'est-il donc devenu, ce gentil fiancé qu'on a jamais revu...". Dommage que ce soit archi bourré de références, liens et autres genouflexions à une multitude de psychiatres opaques et inconnus (de moi en tout cas).

Très intéressant. Je vous conseille ceci dit de passer les 1ers chapitres et de lire surtout la 2ème partie, la clinique c'est à dire les exemples données des thérapies rencontrées. C'est plus vivant....