Le livre du rire et de l'oubli - Milan Kundera -

14-Feb-2011
J'ai eu de la difficiulté avec ce livre. Il y q quelques belles phrases mais trop diffici;e à suivre le fil.
19-Jan-2011
J'ai oublié beaucoup de l'histoire et je ne me souviens pas d'avoir beaucoup ri...
09-Dec-2010
J'ai bien aimé ce livre (à part la fin - l'île des enfants) car il est sensuel et très Kundera bien que différent de l'insoutenable légereté...
J'ai relevé des phrases que j'ai relu plusieurs fois et que j'ai trouvé inspirantes, notamment celle que Janis souligne dans son commentaire: "le sexe n'est pas l'amour, ce n'est qu'un territoire que l'amour s'approprie". On pensait que les trips à trois étaient un fait de la génération X mais on voit qu'ils n'ont rien inventé! J'ai aimé comment il nous fait comprendre les brimades de la vie sous le régime de Moscou. Je n'ai pas aimé la fin (le monde d'enfants avec attouchements) qui m'a débectée en comparaison avec le reste du bouquin.
20-Nov-2010
Bon ben là, j'ai pas accroché. Pourtant Kundera je m'en réjouissait après l'extraordinaire "insoutenable légèreté ..." et puis l'exil, ça créé des liens !! mais finalement ... bof !
25-Sep-2010
Finalement j'ai bien aimé ce livre qui nous fait réfléchir sur bien des choses!
Après chaque chapitre on pourrait faire une rencontre pour échanger, continuer la réflexion...
20-Aug-2010
J'ai eu un peu de mal à embarquer dans le livre, mais par la suite j'ai adoré. Je trouve que c'est un livre extremement riche de beaucoup de thèmes, amour et sexualité, exil, politique, rire, oubli etc. analysés de manière profonde et drôle aussi.J'ai trouvé très intéressantes les nouvelles qui finalement sont liées, le récit en partie autobiographique, ses réflexions sur la vie, le tout sous l'éclairage de l'histoire de Prague.
01-May-2010
C'est un peu bizarre. D'un coté j'ai aimé l'évocation de l'exil, de la dictature et comment ont pu être vécus ces évènements.
D'un autre coté j'ai eu du mal à suivre le fil de ces histoires.
Il y a probablement des subtilités qui m'ont échappées.
23-Mar-2010
Ce que j'ai aimé:
Sa plume très fluide au début, qui emmène tout naturellement le lecteur d'un événement singulier à un autre très différent. Le tout est piqué d'éléments surprenants et de références philosophiques, littéraires ou politiques frappants et d'une poésie superbe. J'ai bien aimé ce mélange fluide d'aspects politiques, sociaux, interpersonnels, extrêmement personnels et fantastiques.
Je vois maintenant le rire d'un autre oeil et le sexe aussi. Kundera ne se gêne surtout pas pour analyser les tendances humaines à sa manière très particulière.
Il y a eu plein de bonnes passes sur des sujets rarement traités (pour moi!).
En voici deux qui m'ont frappés :
"L'homme, bien qu'il soit lui-même mortel, ne peut se représenter ni la fin de l'espace, ni la fin du temps, ni la fin de l'histoire, ni la fin d'un peuple, il vit toujours dans un infini illusoire. / Ceux que fascine l'idée du progrès ne se doutent pas que toute marche en avant rend en même temps la fin plus proche et que de joyeux mots d'ordre comme "plus loin" et "en avant" font entendre la voix lascive de la mort qui nous incite à nous hâter." (p. 273)
Puis :
"Jusqu'ici, sa sexualité avait été occupée par l'amour (je dis occupée parce que le sexe n'est pas l'amour, ce n'est qu'un territoire que l'amour s'approprie), elle participait donc à quelque chose de dramatique, de responsable, de grave. Ici, parmi les enfants, au royaume de l'insignifiance, l'activité sexuelle est enfin redevenue ce qu'elle était à l'origine : un petit joujou à produire une jouissance physique." (p. 277)
Ce que j'ai moins aimé:
Vers la fin, je me suis lassée justement de son analyse Kunderesque constante et je n'ai pas été totalement convaincue par tout le passage de Tamina sur l'île des enfants qui jouaient avec son corps, etc.

Très contente de l'avour lu!