Voyage aux pays du coton - Eric Orsenna -

I found that this was a book with a great deal of information regarding the cotton industry around the world, but without a common thread to hold it all together (pardon the pun). Some facts here and there that were interesting but nothing added up to a big picture, let alone some argument or position put forward by the author. (Désolé, le côté français cherchait trop ses mots, donc mon côté anglais a pris la relève...)

Je fus déçue par cette lecture fastidieuse du début jusqu'à la moitié du livre, puis l'espoir d'un contenu intéressant m'a tenue éveillée jusqu'à la dernière ligne pour finalement m'apercevoir que je n'en sais pas beaucoup plus sur les tenants et aboutissants. Mélange de styles de narration proche de la poésie puis du conte philosophique, puis des éléments de récits très réalistes, des prises de positions déplacées, tout cela m'a agacée vivement. Selon moi, l'auteur s'est fait plaisir. Ceci dit, ce livre représente pour moi une initiation à l'économie mondiale et aux forces qui la régentent, ce qui n'est pas peu non plus.

Je ne sais aps pourquoi exactement, mais j'ai du arrêter cette lecture, je n'arrivais pas à embarquer.
Je m'y remettrai peut-être d'ici janvier...

Je me suis plutôt emmerdé, pourtant le sujet m'attirait plutôt.
Et curieusement je n'ai même pas aimé l'écriture.
(Tous des blairots à l'académie !)

J'avoue que je n'ai pas tout lu et que j'ai sauté à la conclusion. Globalement j'ai du mal à voir où l'auteur veut en venir. Je trouve intéressant le principe de montrer les contextes si différents dans les différents pays. Mais je trouve le style difficile à lire.

Un second livre sur les voyages. Le sujet me m'attirait pas et je reste sur mon appétit sur cette similitute entre chacun des arrêts et de ces rencontres, cela manquait de depiquant. Mais j'ai apprécié le fait de faire un voyage sur un thème, qui l'a amene à travers le monde.

J'ai aimé: le style plus poétique, plus litéraire que les livres du même genre. EN s'attachant à quelques pas particuliers, on ressent le coté humain des situations.

Je n'ai pas aimé: comme d'habitude, aucune cause profonde n'est donnée, aucune remise en cause, aucune solution, on se contente du constat.
En prime, les rares prise de position (comme sur les 35 heures) m'ont semblées déplacées (en plus de ne pas être d'accord).