Sous les vents de Neptune - Fred Vargas -

03-Sep-2005
excellent! Mes personnages préférés:Adamsberg, Rétancourt et Clémentine dont je vous servirais bien encore quelques unes de ses répliques dès que j'aurais remis la main sur le bouquin...on ne se lasse pas!
19-Aug-2005
Superbe roman d'intrigue. J'ai bien aimé les anecdotes québeçoises et françaises. L'auteure a un style qui nous capture du début jusqu'à la fin.
19-Aug-2005
Excellent! J'avais hâte d'allaiter au milieu de la nuit pour pouvoir lire encore. J'ai beaucoup aimé les personnages féminins: Régancourt, Clémentine et Josette. Par contre j'ai eu de la difficulté à comprendre le québécois?!?
26-Jun-2005
C'est très bon. Personnage bien campés, histoire passionnante, mais comme pour beaucoup de romans policiers, on devrait retirer la fin ...Sérieusement!
15-Jun-2005
Sous les vents de Neptune: très bon J'ai adoré. Rarement on voit un polar avec des personnages aussi riches... Je suis folle d'Adamsberg et Danglard, Danglard, qu'est-ce qu'on est soulagés à la toute fin de savoir que .... Je N'ai toujours pas compris la grogne de Homier-Roy à propos de l'Accent québécois; moi je trouve que c'est bien rendu; il ne faut pas oublier que ça se déroule dans l'Outaouais, lieu du Québec où le langage est incompréhensible pour le reste des québécois et de la planète... ensuite, Vargas a le droit d'inventer un langage qui lui semble du québécois..
15-Jun-2005
Au départ j'ai trouvé ce livre nul, mal écrit et rempli de clichés énervants. Avant de laisser tomber j'ai lu les commentaires du merveilleux site web de mon chéri, et la je me suis dit ça ne doit pas être si nul que ça. Effectivement je me suis laissée prendre par l'histoire...et j'avoue qu'il y a de bonnes idées.
15-Jun-2005
Bonne intrigue, quoique de facture classique. des personnages bien campés et originaux. Mais.... la "parlure" québécoise est totalement loufoque! Des expressions qui n'existent pas, ou qu'on utilise incorrectement. Il s'est inventé son petit dialecte québécois. Dommage, parce que de ce côté ci de l'Atlantique cela nuit à la lecture et gâche le plaisir.
15-Jun-2005
Cette Frédérique Varga est une révélation pour moi et je vais aller dénicher ce qu'elle a écrit d'autre. Dès le premier chapitre, j'ai été accroché par les personnages du commissaire et de son adjoint, leurs rapports, l'intrigue. Ensuite, toute l'histoire s'est déroulée avec ravissement. Le caractère mystérieux de l'enquête et les références au trident contrastent tout le long avec les nécessités factuelles de l'enquête policière. En parallèle, les caractères différents d'Adamsberg et de son adjoint - et l'ambiguïté cultivée de ce dernier - sont un réel plaisir. Petit bémol, la parlure québécoise est pour le moins surprenante, à moins que Gatineau ne soit si différent de Montréal. Mais si l'effet recherché était de montrer que l'on peut lire des dialogues dans un français dont les mots sont inconnus et tout de même comprendre ce dont il en retourne, alors c'est parfaitement réussi! Bref, quelque soit notre niveau de compréhension du parler au Québec, nous nous retrouvons comme de bons parigots franco-français.
15-Jun-2005
Intrigue complexe et entraînante, personnages riches et tordus à souhait, choc des cultures franco-québécoises un peu caricatural (sans doute volontairement) : les vents de Neptune nous emportent dans leur tourbillon, jusqu’à la dernière page, jusqu’au dernier souffle. Une réussite !
15-Jun-2005
Autant vous prévenir, je n'ai pas trop l'habitude de lire des romans policers. Le dernier étant Boojerooma, c'est pour dire. La mise en place de l'intrigue est prenante, les personnages bien contrastés. Au chapitre des irritants, deux passages importants que l'on sent venir d'un peu trop loin, et encore des recherches miraculeuses sur internet. C'est sans doute de la déformation professionelle, mais moi, la manière dont on présente ces sois-disant techniques informatiques ça me gonfle. Par contre, je rigole d'avance aux discussions que devraient provoquer les passages "Canadien" du roman. Au total j'ai passé un bon moment.
15-Jun-2005
Autant vous prévenir, je n'ai pas trop l'habitude de lire des romans policers. Le dernier étant Boojerooma, c'est pour dire. La mise en place de l'intrigue est prenante, les personnages bien contrastés. Au chapitre des irritants, deux passages importants que l'on sent venir d'un peu trop loin, et encore des recherches miraculeuses sur internet. C'est sans doute de la déformation professionelle, mais moi, la manière dont on présente ces sois-disant techniques informatiques ça me gonfle. Par contre, je rigole d'avance aux discussions que devraient provoquer les passages "Canadien" du roman. Au total j'ai passé un bon moment.