Le dieu fleuve - Wilbur Smith -

25-Sep-2005
J'ai bien aimé moi. Un eunuque unique en son genre. Un bon contexte historique et beaucoup d'humour.
24-Sep-2005
J'ai terminé le livre car j'adore tout ce qui a trait à l'Egypte. Mais j'ai trouvé le héros trop omniscient omnicapable omnibeau omnitout quoi.
16-Sep-2005
C'est bien mais c'est long, c'est long, c'est long et puis c'est long
19-Aug-2005
Difficile a terminé. Le départ est trop lent et on fini par arreté trop rapidement peut-être!!!
19-Aug-2005
Je l'avais lu il y a plusieurs années et j'avais bien aimé. Cette fois-ci j'ai eu de la difficulté à le finir.
13-Aug-2005
Bon ben finallement c'est pas mal....
Enfin c'est bien tombé dans ma semaine de vacances, sur la plage c'est idéal.
C'est bien écrit et le décor historique est là, l'aventure est bien décrite et les personnages finissent par être attachant.
15-Jun-2005
bof! Je me suis rarement autant ennuyé en lisant un livre. L'eunuque narrateur qui sert de fil d'Ariane est convenu et sans surprise. C'est lui qui a tout vu, tout fait, tout conseillé avant que ne commence l'histoire et ça continue tout au long jusqu'à la fin. Les personnages sont creux, notamment les principaux et les situations sont cousues de fil blanc. Bref, l'alchimie du roman qui nous fait découvrir la civilisation disparue ne prend pas du tout.
15-Jun-2005
Je l'ai lu malgré les commentaires de mes prédécesseurs... et jusqu'au bout, malgré mes propres réticences ! C'est une déception. La qualité littéraire est parfois très bonne, mais cela ne suffit pas. On a l'impression que l'auteur ne sait pas vraiment où il va. En particulier, il y a cet esclave-eunuque, narrateur et héros du roman ; à chaque fois que l'auteur a une nouvelle idée, paf, c'est lui qui s'y colle : c'est un astronome hors pair, un médecin quasi divin, un architecte de génie, un artiste fabuleux, un stratège inspiré, un athlète de haut niveau, et il invente au passage 2-3 petites choses comme la roue. De plus, il est beau comme un Dieu, ce qui ne gâte rien, et prédit l'avenir avec une précision renversante, ce qui est bien pratique aussi. Alors, trop c'est trop, on en oublie la (mince) trame du roman, ses (grosses) incohérences et ses quelques passages inutilement glauques pour attendre la prochaine invention géniale de notre ami, auprès duquel Leonard de Vinci et Einstein de sont que de méchants garnements.
15-Jun-2005
Après un départ inutilement gorre, l'histoire est pas mal quoique un peu longue et sans trop de rythme.