Les amis de Dufferin 2005
Le testament francais - Andrei Makine - Emmanuel 6 0 6
Emmanuel 2006-01-15
C\'est bien écrit, une valse à l\'ancienne, nostalgique et immortelle. Mais je n\'ai pas pu aller au bout, sans trop savoir pourquoi (hors la nécessité de passer l\'ouvrage au suivant, sous une certaine pression :-)). Pas réussi à accrocher suffisamment à l\'histoire pourtant inhabituelle de Charlotte. J\'essaierai de m\'y remettre avant la fin du Cercle, je sens que le souffle épique de ses aventures pourra m\'emporter cette fois-ci.
Retard Christine 01-Oct-2005
Sabine 2005-12-06
J\'ai beaucoup aimé ce livre,il faut parfois s\'accrocher un peu à la lecture mais au total j\'ai trouvé ce récit passionnant, exprimant à la fois la richesse et la lourdeur des origines françaises. Le personnage de Charlotte est fascinant - on aimerait passer des soirées avec elle - ainsi que l\'évolution des sentiments et des perceptions du narrateur. «Ce qui se produisit soudain sur ce palier tanguant au milieu de la steppe ressembla à l\'émerveillement d\'un enfant qui, après une longue observation vaine, découvre dans les lignes savamment embrouillées d\'un dessin un personnage ou un objet camouflés. Il le voit, les arabesque du dessin acquièrent un sens nouveau, une vie nouvelle...» p.288
Retard Pierre 01-Dec-2005
Nicole 2006-11-23
Il est vrai que les descriptions de la steppe immense font rêver et frémir mais le récit n\'a pas su m\'emporter. J\'ai beaucoup ri de l\'histoire des marins anglais qui rencontrent les marins français et les anglais disent \"les français se battent pour l\'argent et les anglais pour l\'honneur\" et le capitaine français répond \"chacun se bat pour ce qu\'il n\'a pas\" hihihi mais autrement j\'ai trouvé ça long et confus.
Denis 2006-05-31
Bien qu\'il a fallu bien du temps pour m\'accrocher, j\'ai bien aimé. Un beau voyage dans les \"fins fond\" de la Russie. J\'ai surtout apprecié les images du petit village face aux changements profonds de la grande Russie.
Rémy 2006-02-01
J\'ai beaucoup aimé ce voyage en Russie à travers le XXieme siècle. Que ce soit la grand-mère avec la guerre, la révolution, ou le petit fils et sa vie quotidienne dans le monde soviètique. Mais mon impression préférée reste l\'évocation de cette steppe immense au bord de laquelle se trouve cette petite ville loin de tout.
Retard Ludo 01-Apr-2006
Retard Jacqueline 01-May-2006
Retard Mathilde 01-Jun-2006
Vincent 2006-11-24
Une relecture qui valait largement le coup. J\'ai beaucoup plus apprécié cette seconde fois le ton et le fond de cette histoire qui réunit des vies et des époques très différentes. Étant moi-même un amoureux de la culture russe, et après la lecture récente des Frères Karamazov de Dostoïevski, l\'immigrant que je suis a pleinement profité des impressions, des sentiments et des questionnements sur l\'identité française en Russie. Andréï Makine a écrit dernièrement un petit ouvrage, la France qu\'on oublie d\'aimer, qui rapporte ce double regard - à la fois étranger en France et Français à l\'étranger, mais avec des années supplémentaire en expérience.
Retard Muriel 01-Aug-2006
C\'est bien écrit, une valse à l\'ancienne, nostalgique et immortelle. Mais je n\'ai pas pu aller au bout, sans trop savoir pourquoi (hors la nécessité de passer l\'ouvrage au suivant, sous une certaine pression :-)). Pas réussi à accrocher suffisamment à l\'histoire pourtant inhabituelle de Charlotte. J\'essaierai de m\'y remettre avant la fin du Cercle, je sens que le souffle épique de ses aventures pourra m\'emporter cette fois-ci.
Retard Christine 01-Oct-2005
Sabine 2005-12-06
J\'ai beaucoup aimé ce livre,il faut parfois s\'accrocher un peu à la lecture mais au total j\'ai trouvé ce récit passionnant, exprimant à la fois la richesse et la lourdeur des origines françaises. Le personnage de Charlotte est fascinant - on aimerait passer des soirées avec elle - ainsi que l\'évolution des sentiments et des perceptions du narrateur. «Ce qui se produisit soudain sur ce palier tanguant au milieu de la steppe ressembla à l\'émerveillement d\'un enfant qui, après une longue observation vaine, découvre dans les lignes savamment embrouillées d\'un dessin un personnage ou un objet camouflés. Il le voit, les arabesque du dessin acquièrent un sens nouveau, une vie nouvelle...» p.288
Retard Pierre 01-Dec-2005
Nicole 2006-11-23
Il est vrai que les descriptions de la steppe immense font rêver et frémir mais le récit n\'a pas su m\'emporter. J\'ai beaucoup ri de l\'histoire des marins anglais qui rencontrent les marins français et les anglais disent \"les français se battent pour l\'argent et les anglais pour l\'honneur\" et le capitaine français répond \"chacun se bat pour ce qu\'il n\'a pas\" hihihi mais autrement j\'ai trouvé ça long et confus.
Denis 2006-05-31
Bien qu\'il a fallu bien du temps pour m\'accrocher, j\'ai bien aimé. Un beau voyage dans les \"fins fond\" de la Russie. J\'ai surtout apprecié les images du petit village face aux changements profonds de la grande Russie.
Rémy 2006-02-01
J\'ai beaucoup aimé ce voyage en Russie à travers le XXieme siècle. Que ce soit la grand-mère avec la guerre, la révolution, ou le petit fils et sa vie quotidienne dans le monde soviètique. Mais mon impression préférée reste l\'évocation de cette steppe immense au bord de laquelle se trouve cette petite ville loin de tout.
Retard Ludo 01-Apr-2006
Retard Jacqueline 01-May-2006
Retard Mathilde 01-Jun-2006
Vincent 2006-11-24
Une relecture qui valait largement le coup. J\'ai beaucoup plus apprécié cette seconde fois le ton et le fond de cette histoire qui réunit des vies et des époques très différentes. Étant moi-même un amoureux de la culture russe, et après la lecture récente des Frères Karamazov de Dostoïevski, l\'immigrant que je suis a pleinement profité des impressions, des sentiments et des questionnements sur l\'identité française en Russie. Andréï Makine a écrit dernièrement un petit ouvrage, la France qu\'on oublie d\'aimer, qui rapporte ce double regard - à la fois étranger en France et Français à l\'étranger, mais avec des années supplémentaire en expérience.
Retard Muriel 01-Aug-2006
Léon l'Africain - Amin Maalouf - Christine 6 0 6
Retard
Emmanuel 01-Aug-2006
Retard Christine 01-Sep-2006
Sabine 2006-03-18
Aucune déception avec Amin Maalouf, j\'ai vraiment été captivée par cette épopée à travers le bassin méditerranéen au 16è s. Ce genre de roman historique est toujours très enrichissant.
Retard Pierre 01-Nov-2005
Nicole 2006-05-30
J\'aime beaucoup Léon et ses aventures. Une lecture intéressante et instructive - beaucoup de charme.
Denis 2006-05-31
Incroyable tout se qui a pu se passe a la meme epoque ou presque. J\'aime bien les romans historiques. Quel vie bien remplie; quelque fois trop. Pourrait-on en dire autant aujourd\'hui? Certainement.
Rémy 2006-02-21
Il s\'agissait pour moi d\'une re-lecture bien venue, car j\'avais oublié tout un tas d\'aspects de l\'histoire. Le siège de Grenade m\'avait particulièrement marqué (1492): Cette défaite inexorable que les habitants ne veulent pas voir, le siège de la ville, les tractations lors de la reddition. Mais ce n\'est qu\'une petite partie de ce voyage qui nous fait faire le tour de la méditerranée et nous rappelle à quel point le monde et son histoire sont riches, complexes et variés. J\'ai toujours un faible pour ces romans historiques qui nous permettent de voir une tranche d\'histoire à travers les yeux de quelques individus.
Retard Ludo 01-Mar-2006
Retard Jacqueline 01-Apr-2006
Retard Mathilde 01-May-2006
Vincent 2006-08-30
Une relecture qui m’a moins emballé que la première fois. J’avais gardé en mémoire essentiellement les voyages en caravane certainement parce que je m’étais servi de cet épisode pour bâtir une aventure de Donjons & Dragons il y a bien des années… Ce coup-ci, ce sont surtout les aspects du conflit autour de la Méditerranée qui m’ont intéressé, entre les Catholiques et les Musulmans, mais aussi entre les Musulmans eux-mêmes. J’achète un peu moins l’épisode romain que je trouve un peu trop tiré par les cheveux, mais bon, il fallait bien être là pour voir débouler les reîtres de l’Empereur, alors… L’érudition d’Amin Maalouf et sa capacité à présenter des questions humaines importantes dans ses ouvrages jouent ici encore pleinement. C’est probablement un de mes auteurs contemporains préférés.
Muriel 2006-06-08
Vrai bijou d\'écriture, de récit, sur fond historique, la chute de Grenade, à travers les yeux d\'un enfant qui devient homme, façonné par l\'exil et les voyages. J\'ai adoré la finesse de l\'écriture et les descriptions notamment celle du monde des dirigeants: cela n\'a pas beaucoup changé! Par contre, j\'ai trouvé la partie sur Rome décevante, tout se précipite et se répète.
Retard Christine 01-Sep-2006
Sabine 2006-03-18
Aucune déception avec Amin Maalouf, j\'ai vraiment été captivée par cette épopée à travers le bassin méditerranéen au 16è s. Ce genre de roman historique est toujours très enrichissant.
Retard Pierre 01-Nov-2005
Nicole 2006-05-30
J\'aime beaucoup Léon et ses aventures. Une lecture intéressante et instructive - beaucoup de charme.
Denis 2006-05-31
Incroyable tout se qui a pu se passe a la meme epoque ou presque. J\'aime bien les romans historiques. Quel vie bien remplie; quelque fois trop. Pourrait-on en dire autant aujourd\'hui? Certainement.
Rémy 2006-02-21
Il s\'agissait pour moi d\'une re-lecture bien venue, car j\'avais oublié tout un tas d\'aspects de l\'histoire. Le siège de Grenade m\'avait particulièrement marqué (1492): Cette défaite inexorable que les habitants ne veulent pas voir, le siège de la ville, les tractations lors de la reddition. Mais ce n\'est qu\'une petite partie de ce voyage qui nous fait faire le tour de la méditerranée et nous rappelle à quel point le monde et son histoire sont riches, complexes et variés. J\'ai toujours un faible pour ces romans historiques qui nous permettent de voir une tranche d\'histoire à travers les yeux de quelques individus.
Retard Ludo 01-Mar-2006
Retard Jacqueline 01-Apr-2006
Retard Mathilde 01-May-2006
Vincent 2006-08-30
Une relecture qui m’a moins emballé que la première fois. J’avais gardé en mémoire essentiellement les voyages en caravane certainement parce que je m’étais servi de cet épisode pour bâtir une aventure de Donjons & Dragons il y a bien des années… Ce coup-ci, ce sont surtout les aspects du conflit autour de la Méditerranée qui m’ont intéressé, entre les Catholiques et les Musulmans, mais aussi entre les Musulmans eux-mêmes. J’achète un peu moins l’épisode romain que je trouve un peu trop tiré par les cheveux, mais bon, il fallait bien être là pour voir débouler les reîtres de l’Empereur, alors… L’érudition d’Amin Maalouf et sa capacité à présenter des questions humaines importantes dans ses ouvrages jouent ici encore pleinement. C’est probablement un de mes auteurs contemporains préférés.
Muriel 2006-06-08
Vrai bijou d\'écriture, de récit, sur fond historique, la chute de Grenade, à travers les yeux d\'un enfant qui devient homme, façonné par l\'exil et les voyages. J\'ai adoré la finesse de l\'écriture et les descriptions notamment celle du monde des dirigeants: cela n\'a pas beaucoup changé! Par contre, j\'ai trouvé la partie sur Rome décevante, tout se précipite et se répète.
Un secret - Philippe Grimbert - Sabine 10 0 2
Emmanuel 2006-08-27
Attachant, déconcertant, marquant... je me sentais très proche du personnage durant toute la lecture, j\'avais l\'impression de ressentir ses émotions, joies et peines. Une belle découverte.
Retard Christine 01-Aug-2006
Sabine 2005-10-16
D\'emblée un coup de coeur sans hésiter. On commence et on ne peut plus s\'arrêter. Un récit à la fois simple et tellement profond, léger et douloureux. J\'avais vraiment envie de vous faire partager ce livre que je ne suis pas prête d\'oublier.
Pierre 2005-09-27
C\'est pas un coup de coeur mais un coup au coeur. C\'est un livre thérapie pour l\'auteur et troublant pou lecteur. Je me retiens de traiter du contenu en soi pour laisser toutes les surprises au lecteur. En passant l\'autre petit livre qui accompagne le secret est aussi très bien. Un échange épistolaire qui révèle les côtés sombres et vengeurs de la nature humaine.
Nicole 2006-01-02
Une histoire bouleversante. Un livre qui m\'a énormément fait réfléchir sur les victimes - de leurs vies avant que le malheur leurs arrivent. Je les avais toujours imaginés heureux et sereins avant que le destin ne les fauche d\'un coup. Et cette réflection a complétement changé mon appréciation pour le 2ème livre que Sabine nous a proposé \"Addresse inconnue\" - on s\'en reparle en Octobre.
Denis 2005-12-05
Un excellent livre, troublant et déconcertant. Qui ne s\'est pas inventé une histoire dans sa jeunesse, mais la faire tourner de cette façon, ouf!
Rémy 2005-11-05
J\'ai beaucoup aimé. J\'ai trouvé ça un peu bizare au début, mais très vite les différentes \'couches\' de l\'histoire apparaissent.Elles se fondent en une histoire unique, tout en restant visibles et autonomes. Je n\'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler trop le contenu, sinon que moi, quand j\'étais petit, j\'avais un cheval ...
Ludo 2006-03-01
Un style et une écriture superbe qui nous présente un sujet connu d\'une façon différente et subtile. Sans voyeurisme et sans cliché, ce récit tout en finesse devient force.
Jacqueline 2006-03-22
J\'ai adoré. Tout est amené de façon tellement subtile et inattendu. A ce jour, c\'est mon coup de coeur de l\'année pour le thème, l\'écriture les personnages, tout en finesse et en beauté.
Retard Mathilde 01-Apr-2006
Vincent 2006-08-30
Un excellent roman intimiste qui dévoile par touches successives une histoire terrible, pourtant commencée par des souvenirs enfantins légers et touchants. On y aborde avec finesse la question de l’identité et du prix à payer pour connaître ses origines. On y suit différentes manières de composer toute sa vie avec ce genre de secret, la culpabilité qui va avec. Tellement captivant que je l’ai lu en une matinée au lit, et que c’est dommage car du coup je l’ai avalé un peu trop vite et il ne me reste que peu de souvenirs concrets…
Muriel 2006-10-18
J\'ai beaucoup aimé l\'histoire et le style d\'écriture très délicat et sensible. Pour l\'auteur, devenir psychanalyste tombait sous le sens: handicapé par le non-dit, il se trouve libéré de son fardeau par le récit de son histoire singulière par une amie de ses parents. J\'ai aimé redécouvrir le pouvoir des mots. Et je me suis souvenue de l\'époque ou je travaillais avec des psy...ils parlaient tous comme cela! pour le livre ADRESSE INCONNUE: très intéressant avec en prime une lecture dans la demi-heure!
Attachant, déconcertant, marquant... je me sentais très proche du personnage durant toute la lecture, j\'avais l\'impression de ressentir ses émotions, joies et peines. Une belle découverte.
Retard Christine 01-Aug-2006
Sabine 2005-10-16
D\'emblée un coup de coeur sans hésiter. On commence et on ne peut plus s\'arrêter. Un récit à la fois simple et tellement profond, léger et douloureux. J\'avais vraiment envie de vous faire partager ce livre que je ne suis pas prête d\'oublier.
Pierre 2005-09-27
C\'est pas un coup de coeur mais un coup au coeur. C\'est un livre thérapie pour l\'auteur et troublant pou lecteur. Je me retiens de traiter du contenu en soi pour laisser toutes les surprises au lecteur. En passant l\'autre petit livre qui accompagne le secret est aussi très bien. Un échange épistolaire qui révèle les côtés sombres et vengeurs de la nature humaine.
Nicole 2006-01-02
Une histoire bouleversante. Un livre qui m\'a énormément fait réfléchir sur les victimes - de leurs vies avant que le malheur leurs arrivent. Je les avais toujours imaginés heureux et sereins avant que le destin ne les fauche d\'un coup. Et cette réflection a complétement changé mon appréciation pour le 2ème livre que Sabine nous a proposé \"Addresse inconnue\" - on s\'en reparle en Octobre.
Denis 2005-12-05
Un excellent livre, troublant et déconcertant. Qui ne s\'est pas inventé une histoire dans sa jeunesse, mais la faire tourner de cette façon, ouf!
Rémy 2005-11-05
J\'ai beaucoup aimé. J\'ai trouvé ça un peu bizare au début, mais très vite les différentes \'couches\' de l\'histoire apparaissent.Elles se fondent en une histoire unique, tout en restant visibles et autonomes. Je n\'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler trop le contenu, sinon que moi, quand j\'étais petit, j\'avais un cheval ...
Ludo 2006-03-01
Un style et une écriture superbe qui nous présente un sujet connu d\'une façon différente et subtile. Sans voyeurisme et sans cliché, ce récit tout en finesse devient force.
Jacqueline 2006-03-22
J\'ai adoré. Tout est amené de façon tellement subtile et inattendu. A ce jour, c\'est mon coup de coeur de l\'année pour le thème, l\'écriture les personnages, tout en finesse et en beauté.
Retard Mathilde 01-Apr-2006
Vincent 2006-08-30
Un excellent roman intimiste qui dévoile par touches successives une histoire terrible, pourtant commencée par des souvenirs enfantins légers et touchants. On y aborde avec finesse la question de l’identité et du prix à payer pour connaître ses origines. On y suit différentes manières de composer toute sa vie avec ce genre de secret, la culpabilité qui va avec. Tellement captivant que je l’ai lu en une matinée au lit, et que c’est dommage car du coup je l’ai avalé un peu trop vite et il ne me reste que peu de souvenirs concrets…
Muriel 2006-10-18
J\'ai beaucoup aimé l\'histoire et le style d\'écriture très délicat et sensible. Pour l\'auteur, devenir psychanalyste tombait sous le sens: handicapé par le non-dit, il se trouve libéré de son fardeau par le récit de son histoire singulière par une amie de ses parents. J\'ai aimé redécouvrir le pouvoir des mots. Et je me suis souvenue de l\'époque ou je travaillais avec des psy...ils parlaient tous comme cela! pour le livre ADRESSE INCONNUE: très intéressant avec en prime une lecture dans la demi-heure!
L'évangile selon Jimmy - Didier Van Cauwelaert - Pierre 6 0 6
Retard
Emmanuel 01-Jun-2006
Retard Christine 01-Jul-2006
Sabine 2006-10-13
Retard Pierre 01-Sep-2006
Nicole 2006-01-02
Une lecture fort amusante. Une idée intéressante qui nous fait réfléchir aux possibilités et impossibilités de la science moderne. Cependant, j\'ai trouvé que l\'auteur a essayé de toucher à tellement de sujets qu\'en les effleurant tous on reste sur notre faim.
Denis 2005-12-05
Une excellente idée de départ. Plein de détail, sous détail, à s\'y perdre. Finalement, une fin amusante et à faire réfléchir.
Rémy 2006-01-09
Enfin un livre pas trop prise de tête qui se lit facilement. Quelques idées à la mode, du suspense, de gros moyens, je vois déjà le film. Bref un bon moment de détente.
Retard Ludo 01-Jan-2006
Retard Jacqueline 01-Feb-2006
Retard Mathilde 01-Mar-2006
Vincent 2006-11-24
Une très chouette découverte que ce roman. Un bon scénario sur une idée originale et très bien ficelée. D\'autant plus qu\'au-delà du côté science-fiction et thriller techno, il y a un mélange d\'humour et de jeu sur les concepts religieux tout à fait délicieux! Je me suis régalé de bout en bout.
Muriel 2006-10-18
Encore un coup de coeur! Lecture visonnaire, très divertissante, intéressante, si drole! J\'ai adoré le personnage de Bush plus vrai que nature, et bien sur Jimmy. Détails croustillants du nouveau testament revu et corrigé! Je vois aussi déjà le film!
Retard Christine 01-Jul-2006
Sabine 2006-10-13
Retard Pierre 01-Sep-2006
Nicole 2006-01-02
Une lecture fort amusante. Une idée intéressante qui nous fait réfléchir aux possibilités et impossibilités de la science moderne. Cependant, j\'ai trouvé que l\'auteur a essayé de toucher à tellement de sujets qu\'en les effleurant tous on reste sur notre faim.
Denis 2005-12-05
Une excellente idée de départ. Plein de détail, sous détail, à s\'y perdre. Finalement, une fin amusante et à faire réfléchir.
Rémy 2006-01-09
Enfin un livre pas trop prise de tête qui se lit facilement. Quelques idées à la mode, du suspense, de gros moyens, je vois déjà le film. Bref un bon moment de détente.
Retard Ludo 01-Jan-2006
Retard Jacqueline 01-Feb-2006
Retard Mathilde 01-Mar-2006
Vincent 2006-11-24
Une très chouette découverte que ce roman. Un bon scénario sur une idée originale et très bien ficelée. D\'autant plus qu\'au-delà du côté science-fiction et thriller techno, il y a un mélange d\'humour et de jeu sur les concepts religieux tout à fait délicieux! Je me suis régalé de bout en bout.
Muriel 2006-10-18
Encore un coup de coeur! Lecture visonnaire, très divertissante, intéressante, si drole! J\'ai adoré le personnage de Bush plus vrai que nature, et bien sur Jimmy. Détails croustillants du nouveau testament revu et corrigé! Je vois aussi déjà le film!
Une Adoration - Nancy Huston - Nicole 7 0 5
Retard
Emmanuel 01-May-2006
Retard Christine 01-Jun-2006
Sabine 2005-10-16
Une approche originale et intéressante, des personnages intrigants et riches, certains passages excellents que j\'ai aimé relire, des détails amusants (la participation d\'éléments du paysage notamment). Globalement j\'ai bien aimé, même si j\'ai trouvé pas mal de longueurs... mais cela vaut vraiment le coup d\'aller jusqu\'à la fin...
Retard Pierre 01-Aug-2006
Nicole 2006-11-23
Étant donné que c\'est moi qui a proposé ce livre, je devrais au moins y mettre mon commentaire. J\'ai trouvé le rôle du juge/narrateur fort ingénieux. La passion et force des personnages m\'ont touché, particulièrement la petite Fiona. Le Théâtre du Nouveau Monde a monté une pièce l\'année dernière qui communiquait toute l\'intensité et violence du récit.
Denis 2005-12-05
Un excellent livre, une présentation différente, des mise en situation différentes, des personnages complexes et compliqué, qui enrichissent l\'histoire sans la compliquée. Il faut avoir le coeur solide pour aller jusqu\'à la fin.
Rémy 2005-10-27
Des choses très bien, des passages prenants, de bonnes idées, des images et des points de vue originaux, mais c\'est long, c\'est long, ... Du coup on finit par se lasser même des bonnes idées qui à force d\'être trop utilisées deviennent presque agaçantes. Domage. un de mes passages préférés: L\'hiver dans ce pays - l\'humidité pénétrante, le brouillard, et la boue, le ciel bas. terne et lourd, les champs incolores... [...] Il supportait sans problème un vrai froid mordant,moins quarante avec avec un ciel bleu vif et du soleil, mais cette bruine et cette grisaille glaciale lui coupait les jambes, l\'apétit, la joie de vivre.
Ludo 2006-03-01
Approche très intéressante et très original, qui permet certaine situation cocasse. C\'est vrai que l\'on étire un peu l\'effet et que globalement cela ne va pas bien loin, mais pour l\'exercice de style, ça merite attention.
Retard Jacqueline 01-Jan-2006
Retard Mathilde 01-Feb-2006
Vincent 2006-08-30
Dés le début, la forme du procès qui va s’instruire devant nos yeux, m’a bien plu, notamment les interventions d’objets au milieu des témoins défilant. Et puis, tout de suite aussi, on découvre des personnages complexes et attachants, comme la mère un peu planante, ou la fille excentrique et je me suis laissé porté par toute l’ambiance amoureuse au sujet de l’absent central. Cette histoire racontée par plusieurs voix, en direct, avec toutes les rancoeurs encore présentes, les découvertes que font les témoins en même temps que nous, est une réussite. On en oublie que l’auteur a écrit ça toute seule, tirant adroitement toutes ces ficelles pour notre surprise et notre plaisir.
Muriel 2006-06-08
J\'ai adoré \"une adoration\"! Emballée par le style \"théatre\" pour les 1ères pages, cela m\'a ensuite agacée un peu pour finalement me saisir jusqu\'à la fin, m\'enthousiasmer et me dynamiser. J\'ai bien aimé le personnage de Cosmo (évidemment!), de la mère, que la pauvre Josette se défende comme cela et que Fiona s\'en sorte bien grâce, finalement,aux moments courts mais de qualité passés avec Cosmo. Beaucoup de réflexions suscitées à propos de nos ressemblances malgré nos différences visibles (physique, sociale, culturelle...).
Retard Christine 01-Jun-2006
Sabine 2005-10-16
Une approche originale et intéressante, des personnages intrigants et riches, certains passages excellents que j\'ai aimé relire, des détails amusants (la participation d\'éléments du paysage notamment). Globalement j\'ai bien aimé, même si j\'ai trouvé pas mal de longueurs... mais cela vaut vraiment le coup d\'aller jusqu\'à la fin...
Retard Pierre 01-Aug-2006
Nicole 2006-11-23
Étant donné que c\'est moi qui a proposé ce livre, je devrais au moins y mettre mon commentaire. J\'ai trouvé le rôle du juge/narrateur fort ingénieux. La passion et force des personnages m\'ont touché, particulièrement la petite Fiona. Le Théâtre du Nouveau Monde a monté une pièce l\'année dernière qui communiquait toute l\'intensité et violence du récit.
Denis 2005-12-05
Un excellent livre, une présentation différente, des mise en situation différentes, des personnages complexes et compliqué, qui enrichissent l\'histoire sans la compliquée. Il faut avoir le coeur solide pour aller jusqu\'à la fin.
Rémy 2005-10-27
Des choses très bien, des passages prenants, de bonnes idées, des images et des points de vue originaux, mais c\'est long, c\'est long, ... Du coup on finit par se lasser même des bonnes idées qui à force d\'être trop utilisées deviennent presque agaçantes. Domage. un de mes passages préférés: L\'hiver dans ce pays - l\'humidité pénétrante, le brouillard, et la boue, le ciel bas. terne et lourd, les champs incolores... [...] Il supportait sans problème un vrai froid mordant,moins quarante avec avec un ciel bleu vif et du soleil, mais cette bruine et cette grisaille glaciale lui coupait les jambes, l\'apétit, la joie de vivre.
Ludo 2006-03-01
Approche très intéressante et très original, qui permet certaine situation cocasse. C\'est vrai que l\'on étire un peu l\'effet et que globalement cela ne va pas bien loin, mais pour l\'exercice de style, ça merite attention.
Retard Jacqueline 01-Jan-2006
Retard Mathilde 01-Feb-2006
Vincent 2006-08-30
Dés le début, la forme du procès qui va s’instruire devant nos yeux, m’a bien plu, notamment les interventions d’objets au milieu des témoins défilant. Et puis, tout de suite aussi, on découvre des personnages complexes et attachants, comme la mère un peu planante, ou la fille excentrique et je me suis laissé porté par toute l’ambiance amoureuse au sujet de l’absent central. Cette histoire racontée par plusieurs voix, en direct, avec toutes les rancoeurs encore présentes, les découvertes que font les témoins en même temps que nous, est une réussite. On en oublie que l’auteur a écrit ça toute seule, tirant adroitement toutes ces ficelles pour notre surprise et notre plaisir.
Muriel 2006-06-08
J\'ai adoré \"une adoration\"! Emballée par le style \"théatre\" pour les 1ères pages, cela m\'a ensuite agacée un peu pour finalement me saisir jusqu\'à la fin, m\'enthousiasmer et me dynamiser. J\'ai bien aimé le personnage de Cosmo (évidemment!), de la mère, que la pauvre Josette se défende comme cela et que Fiona s\'en sorte bien grâce, finalement,aux moments courts mais de qualité passés avec Cosmo. Beaucoup de réflexions suscitées à propos de nos ressemblances malgré nos différences visibles (physique, sociale, culturelle...).
Onze minutes - Paulo Coelho - Denis 6 0 6
Emmanuel 2006-08-27
Eh bien je l\'ai aimé ce livre ! Les commentaires de mes distingués collègues ne m\'avaient pourtant pas incité à me précipiter dessus :-) J\'ai trouvé qu\'il y avait de la vie là -dedans, un bouillonnement un peu confus mais qui m\'a emporté tout du long. Un traitement original d\'un destin peut-être pas si improbable.
Retard Christine 01-May-2006
Sabine 2006-03-30
Y a de bonne choses, mais gobalement beaucoup beaucoup de clichés, une histoire peu plausible et ça m\'énerve (que ce soit l\'aspect prince charmant ou la ferme) et surtout une écriture vraiment pauvre (particulièrement après avoir lu Céline).
Retard Pierre 01-Jul-2006
Nicole 2006-06-07
J\'ai bien aimé ce livre. Un sujet hors de l\'habituel pour notre cercle. Oui, il y a des clichés, mais j\'ai aussi trouvé du matériel à réflection, particulièrement la richesse et la satisfaction de la sensualité versus la sexualité. Une fin digne de tout film Hollywoodien, mais des gens heureux font du bien de temps en temps, non?
Retard Denis 01-Sep-2006
Rémy 2005-10-03
Pas terrible, et même carément gonflant, puis, plate, et un peu long à la fin. Beaucoup de clichés, de platitudes, d\'effets ré-utilisés (Le personnage qui veut écrire un livre qui s\'apelle .. onze minutes. Le livre dans le livre comme dans l\'histoire sans fin). Je me suis dépéché de le finir pour le passer à Ludo.
Ludo 2006-03-01
Ouai bof. Ca se lit bien quand même, mais c\'est pas transcendant.
Retard Jacqueline 01-Dec-2005
Retard Mathilde 01-Jan-2006
pas lu Vincent 2006-11-24
Pas vu, pas lu...
Retard Muriel 01-Mar-2006
Eh bien je l\'ai aimé ce livre ! Les commentaires de mes distingués collègues ne m\'avaient pourtant pas incité à me précipiter dessus :-) J\'ai trouvé qu\'il y avait de la vie là -dedans, un bouillonnement un peu confus mais qui m\'a emporté tout du long. Un traitement original d\'un destin peut-être pas si improbable.
Retard Christine 01-May-2006
Sabine 2006-03-30
Y a de bonne choses, mais gobalement beaucoup beaucoup de clichés, une histoire peu plausible et ça m\'énerve (que ce soit l\'aspect prince charmant ou la ferme) et surtout une écriture vraiment pauvre (particulièrement après avoir lu Céline).
Retard Pierre 01-Jul-2006
Nicole 2006-06-07
J\'ai bien aimé ce livre. Un sujet hors de l\'habituel pour notre cercle. Oui, il y a des clichés, mais j\'ai aussi trouvé du matériel à réflection, particulièrement la richesse et la satisfaction de la sensualité versus la sexualité. Une fin digne de tout film Hollywoodien, mais des gens heureux font du bien de temps en temps, non?
Retard Denis 01-Sep-2006
Rémy 2005-10-03
Pas terrible, et même carément gonflant, puis, plate, et un peu long à la fin. Beaucoup de clichés, de platitudes, d\'effets ré-utilisés (Le personnage qui veut écrire un livre qui s\'apelle .. onze minutes. Le livre dans le livre comme dans l\'histoire sans fin). Je me suis dépéché de le finir pour le passer à Ludo.
Ludo 2006-03-01
Ouai bof. Ca se lit bien quand même, mais c\'est pas transcendant.
Retard Jacqueline 01-Dec-2005
Retard Mathilde 01-Jan-2006
pas lu Vincent 2006-11-24
Pas vu, pas lu...
Retard Muriel 01-Mar-2006
Marius - Marcel Pagnol - Rémy 6 0 6
Emmanuel 2006-08-27
J\'étais sur de l\'avoir déjà lu mais je confondais avec d\'autres oeuvres du père Pagnol. Ce fut une découverte donc, dans laquelle j\'ai retrouvé avec plaisir quelques répliques cultes. Mais au final, je dois avouer que cela ne m\'a pas enthousiasmé autant que je l\'espérais. Vite lu bien lu.
Retard Christine 01-Apr-2006
Sabine 2006-10-08
On passe toujours un très bon moment avec ce genre de classiques, cela fait partie des incontournables. Comme Vincent je dirai que c\'est plus le film - que j\'avais vu avant- qui m\'a marquée, je l\'ai trouvé plus émouvant que le livre.
Retard Pierre 01-Jun-2006
Retard Nicole 01-Jul-2006
Retard Denis 01-Aug-2006
Rémy 2006-10-05
C\'est finalement aussi bien à lire qu\'à regarder. Des scènes inoubliables d\'amour et d\'amitié.
Ludo 2006-03-01
Ben oui, c\'est bon ! Mais que dire de nouveau ? C\'est comme du Molière, c\'est intemporel.
Retard Jacqueline 01-Nov-2005
Retard Mathilde 01-Dec-2005
Vincent 2006-08-30
Je suis partagé sur Marius. Partagé entre le côté charmant et désuet de l’histoire et celui un peu trop vieillot des romans de cette époque. Autant j’ai apprécié les aspects caractéristiques locaux, presque folkloriques, autant je n’ai pas été très intéressé par l’intrigue et les peines de cœur des amoureux. C’est surtout le côté humain des personnages avec le mélange bien méridional de grande gueule et de grand cœur (fendu) qui m’a séduit. J’ai conservé un meilleur souvenir de la Gloire de mon père et du Chateau de ma mère, de Pagnol. Quelle bonne idée de livrer avec le livre le CD du film. Ça ajoute une dimension à la découverte. Ceci dit,, la force de l’image a fait que mon imaginaire tissé au fil des pages est à peu près complètement disparu et donc en écrivant ce commentaire, je pense plus au film qu’à ma lecture.
Muriel 2006-04-28
excellent ainsi que le film qui rajoute le bon accent! Sans le film, c\'est déjà tellement visuel. Tout en finesse, humour et vérité.
J\'étais sur de l\'avoir déjà lu mais je confondais avec d\'autres oeuvres du père Pagnol. Ce fut une découverte donc, dans laquelle j\'ai retrouvé avec plaisir quelques répliques cultes. Mais au final, je dois avouer que cela ne m\'a pas enthousiasmé autant que je l\'espérais. Vite lu bien lu.
Retard Christine 01-Apr-2006
Sabine 2006-10-08
On passe toujours un très bon moment avec ce genre de classiques, cela fait partie des incontournables. Comme Vincent je dirai que c\'est plus le film - que j\'avais vu avant- qui m\'a marquée, je l\'ai trouvé plus émouvant que le livre.
Retard Pierre 01-Jun-2006
Retard Nicole 01-Jul-2006
Retard Denis 01-Aug-2006
Rémy 2006-10-05
C\'est finalement aussi bien à lire qu\'à regarder. Des scènes inoubliables d\'amour et d\'amitié.
Ludo 2006-03-01
Ben oui, c\'est bon ! Mais que dire de nouveau ? C\'est comme du Molière, c\'est intemporel.
Retard Jacqueline 01-Nov-2005
Retard Mathilde 01-Dec-2005
Vincent 2006-08-30
Je suis partagé sur Marius. Partagé entre le côté charmant et désuet de l’histoire et celui un peu trop vieillot des romans de cette époque. Autant j’ai apprécié les aspects caractéristiques locaux, presque folkloriques, autant je n’ai pas été très intéressé par l’intrigue et les peines de cœur des amoureux. C’est surtout le côté humain des personnages avec le mélange bien méridional de grande gueule et de grand cœur (fendu) qui m’a séduit. J’ai conservé un meilleur souvenir de la Gloire de mon père et du Chateau de ma mère, de Pagnol. Quelle bonne idée de livrer avec le livre le CD du film. Ça ajoute une dimension à la découverte. Ceci dit,, la force de l’image a fait que mon imaginaire tissé au fil des pages est à peu près complètement disparu et donc en écrivant ce commentaire, je pense plus au film qu’à ma lecture.
Muriel 2006-04-28
excellent ainsi que le film qui rajoute le bon accent! Sans le film, c\'est déjà tellement visuel. Tout en finesse, humour et vérité.
Voyage au bout de la nuit - Louis-Ferdinand Céline - Ludo 4 0 8
Emmanuel 2006-08-27
Ouaf... J\'ai eu du mal à tenir jusqu\'au bout. Un classique qui se mérite. Il ne faut pas être trop déprimé pour se lancer dans la lecture.
Retard Christine 01-Mar-2006
Sabine 2006-03-01
Merci de nous avoir proposé ce livre, j\'ai beaucoup aimé. Je trouve le sytle très intéressant, on ressent très bien les sentiments des personnages, les impressions véhiculées, les atmosphères des lieux (on a chaud en Afrique, il fait humide à Paris, on s\'intérroge sur New York...). J\'ai eu un peu de mal à embarquer dans le livre au début (pour la période de la guerre, rien de très original) mais par la suite j\'ai été captivée par les situations. C\'est long mais ça vaut le coup !
Retard Pierre 01-May-2006
Retard Nicole 01-Jun-2006
Retard Denis 01-Jul-2006
Rémy 2006-05-30
J\'ai un peu hésité entre bien et pas mal. Il y a des passages que j\'ai vraiment aimé en particulier le début avec la guerre, et le passage en Afrique. On a vraiment l\'impression de se dissoudre dans cette jungle. Par contre après j\'ai trouvé ça un peu long et répétitif. L\'histoire ne semble plus progresser et n\'être plus qu\'une accumulation de situations décourageantes.
Retard Ludo 01-Sep-2006
Retard Jacqueline 01-Oct-2005
Retard Mathilde 01-Nov-2005
Vincent 2006-08-30
Une découverte. Je ne connaissais Céline que de nom et pas ses opinons antisémites. Je dois confesser que je l’attendais donc un peu au tournant… J’ai été vraiment séduit par cette œuvre, surtout si je repense au contexte littéraire dans lequel elle est apparue. Le style direct, proche d’un parler cru et sans fioriture détonne moins aujourd’hui qu’à sa première publication mais il aide à accepter toute la noirceur en s’immergeant plus profondément dans la « nuit ». On peut trouver le tout un peu long et considérer que les situations se répètent, mais le titre nous invite non seulement à visiter la nuit de la condition humaine, mais en plus à y aller jusqu’au bout et par différents chemins. Ces répétitions donnent donc un tableau plus complet et montre une nuit qui est toujours là , partout, à portée de la main, pente glissante vers laquelle nous sommes toujours prêts à faire un pas. J’ai beaucoup aimé le passage au front de la Première Guerre et l’épisode africain, ainsi que les discussions avec l’aliéniste moderne. Il y aurait matière à écrire une suite, non seulement pour montrer que le sujet reste et restera toujours au goût du jour, mais pour appliquer à notre modernisme, qui a chassé celui de cette époque, le même regard cru et ironique. Il manque bien sûr une note d’espoir dans tout ceci, mais pour cela, il y a plein d’autres livres très bien! ;-)
Retard Muriel 01-Jan-2006
Ouaf... J\'ai eu du mal à tenir jusqu\'au bout. Un classique qui se mérite. Il ne faut pas être trop déprimé pour se lancer dans la lecture.
Retard Christine 01-Mar-2006
Sabine 2006-03-01
Merci de nous avoir proposé ce livre, j\'ai beaucoup aimé. Je trouve le sytle très intéressant, on ressent très bien les sentiments des personnages, les impressions véhiculées, les atmosphères des lieux (on a chaud en Afrique, il fait humide à Paris, on s\'intérroge sur New York...). J\'ai eu un peu de mal à embarquer dans le livre au début (pour la période de la guerre, rien de très original) mais par la suite j\'ai été captivée par les situations. C\'est long mais ça vaut le coup !
Retard Pierre 01-May-2006
Retard Nicole 01-Jun-2006
Retard Denis 01-Jul-2006
Rémy 2006-05-30
J\'ai un peu hésité entre bien et pas mal. Il y a des passages que j\'ai vraiment aimé en particulier le début avec la guerre, et le passage en Afrique. On a vraiment l\'impression de se dissoudre dans cette jungle. Par contre après j\'ai trouvé ça un peu long et répétitif. L\'histoire ne semble plus progresser et n\'être plus qu\'une accumulation de situations décourageantes.
Retard Ludo 01-Sep-2006
Retard Jacqueline 01-Oct-2005
Retard Mathilde 01-Nov-2005
Vincent 2006-08-30
Une découverte. Je ne connaissais Céline que de nom et pas ses opinons antisémites. Je dois confesser que je l’attendais donc un peu au tournant… J’ai été vraiment séduit par cette œuvre, surtout si je repense au contexte littéraire dans lequel elle est apparue. Le style direct, proche d’un parler cru et sans fioriture détonne moins aujourd’hui qu’à sa première publication mais il aide à accepter toute la noirceur en s’immergeant plus profondément dans la « nuit ». On peut trouver le tout un peu long et considérer que les situations se répètent, mais le titre nous invite non seulement à visiter la nuit de la condition humaine, mais en plus à y aller jusqu’au bout et par différents chemins. Ces répétitions donnent donc un tableau plus complet et montre une nuit qui est toujours là , partout, à portée de la main, pente glissante vers laquelle nous sommes toujours prêts à faire un pas. J’ai beaucoup aimé le passage au front de la Première Guerre et l’épisode africain, ainsi que les discussions avec l’aliéniste moderne. Il y aurait matière à écrire une suite, non seulement pour montrer que le sujet reste et restera toujours au goût du jour, mais pour appliquer à notre modernisme, qui a chassé celui de cette époque, le même regard cru et ironique. Il manque bien sûr une note d’espoir dans tout ceci, mais pour cela, il y a plein d’autres livres très bien! ;-)
Retard Muriel 01-Jan-2006
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran - Éric-Emmanuel Schmitt - Jacqueline 9 0 3
Emmanuel 2006-01-15
Une fable attachante, humaine, généreuse. C\'est léger et profond à la fois, tendre et drôle. En ce moment, ça fait du bien.
Christine 2006-03-01
Je n\'avais jamais lu cet auteur mais j\'ai beaucoup aimé. C\'est très joyeux, plein de clins d\'oeil, cela m\'a mise de bonne humeur.
Sabine 2006-01-04
J\'ai passé un très bon moment avec ce livre, que j\'ai vu comme un conte, mais on reste vraiment sur sa faim, à la fois sur la vie parisienne et sur le croissant d\'or.
Retard Pierre 01-Apr-2006
Nicole 2006-06-07
Un livre avec tous les éléments pour un drame, voir tragédie, mais avec tellement d\'amour et d\'espoir qu\'on finit le livre avec un sourire sur les lèvres.
Denis 2006-03-21
Bon petit livre! J\'aimerai que que;qu\'un propose l\'annee prochaine un des autres livre sur le bouhdiste ou le christianisme. C\'est amusant et apporte un sourire dans la journee! Maintenant, je comprend un peu plus mon ami Abul Hakim Samne qui sourit toujours et a toujours l\'air d\'aimer la vie, j\'aurais du lire le Coran. Il faut lire ce livre sans cherche des reference ou des liens avec les leiux et le temps, mais bien essaye de visualise les gens et les personnages dans leurs actions.
Rémy 2006-04-16
Très bien, mais un peu court. J\'aurais aimé que les idées soient un peu plus dévelopées. On a l\'impression que certains passages sont vraiment vite expédiés, en particulier le voyage.
Retard Ludo 01-Aug-2006
Jacqueline 2005-09-05
J\'ai adoré ce texte poétique et philosophique, qui est d\'actualité en plus !
Retard Mathilde 01-Oct-2005
Vincent 2005-12-05
Une jolie fable qui s\'avale un peu trop vite. Comme souvent Éric-Emmanuel Schmitt a fait un excellent rapprochement, voir Freund et Dieu ou les deux vies parallèles d\'un Hitler... Mais je regrette qu\'il n\'ait pas un peu plus creusé l\'idée qui nous aurait fait vivre plus profondément Momo, Mr Ibrahim, sa mère. J\'ai un peu l\'impression d\'avoir lu un résumé, réussi, rafraîchissant, mais un résumé tout de même.
Muriel 2006-04-28
Bonne lecture de vacances. agréable moment passé qui me rappelle de vivre surtout au moment présent. Expérience personnelle donc.
Une fable attachante, humaine, généreuse. C\'est léger et profond à la fois, tendre et drôle. En ce moment, ça fait du bien.
Christine 2006-03-01
Je n\'avais jamais lu cet auteur mais j\'ai beaucoup aimé. C\'est très joyeux, plein de clins d\'oeil, cela m\'a mise de bonne humeur.
Sabine 2006-01-04
J\'ai passé un très bon moment avec ce livre, que j\'ai vu comme un conte, mais on reste vraiment sur sa faim, à la fois sur la vie parisienne et sur le croissant d\'or.
Retard Pierre 01-Apr-2006
Nicole 2006-06-07
Un livre avec tous les éléments pour un drame, voir tragédie, mais avec tellement d\'amour et d\'espoir qu\'on finit le livre avec un sourire sur les lèvres.
Denis 2006-03-21
Bon petit livre! J\'aimerai que que;qu\'un propose l\'annee prochaine un des autres livre sur le bouhdiste ou le christianisme. C\'est amusant et apporte un sourire dans la journee! Maintenant, je comprend un peu plus mon ami Abul Hakim Samne qui sourit toujours et a toujours l\'air d\'aimer la vie, j\'aurais du lire le Coran. Il faut lire ce livre sans cherche des reference ou des liens avec les leiux et le temps, mais bien essaye de visualise les gens et les personnages dans leurs actions.
Rémy 2006-04-16
Très bien, mais un peu court. J\'aurais aimé que les idées soient un peu plus dévelopées. On a l\'impression que certains passages sont vraiment vite expédiés, en particulier le voyage.
Retard Ludo 01-Aug-2006
Jacqueline 2005-09-05
J\'ai adoré ce texte poétique et philosophique, qui est d\'actualité en plus !
Retard Mathilde 01-Oct-2005
Vincent 2005-12-05
Une jolie fable qui s\'avale un peu trop vite. Comme souvent Éric-Emmanuel Schmitt a fait un excellent rapprochement, voir Freund et Dieu ou les deux vies parallèles d\'un Hitler... Mais je regrette qu\'il n\'ait pas un peu plus creusé l\'idée qui nous aurait fait vivre plus profondément Momo, Mr Ibrahim, sa mère. J\'ai un peu l\'impression d\'avoir lu un résumé, réussi, rafraîchissant, mais un résumé tout de même.
Muriel 2006-04-28
Bonne lecture de vacances. agréable moment passé qui me rappelle de vivre surtout au moment présent. Expérience personnelle donc.
Une vie bouleversée - Etty Hilllesum - Mathilde 7 0 5
Emmanuel 2006-02-13
Ouf... difficile de donner un compte-rendu cohérent. J\'ai eu du mal à rentrer dans ce livre, à m\'attacher au personnage. Sur les 100-150 premières pages, avant que l\'on sente l\'emprise de la guerre, je voyais surtout une jeune intellectuelle se regardant écrire avec une auto-satisfaction certaine, et apparemment plus intéressée par elle-même que par le reste du monde. La suite du Journal et les Lettres sont d\'une essence très différente. Détachée dans son style, très mystique, Etty parvient à nous faire ressentir l\'horreur, le quotidien insoutenable, l\'angoisse du camp. Difficile pour moi de comprendre son état d\'esprit, mais c\'est un témoignage coup de poing.
pas lu Christine 2006-03-01
Pas possible. Je n\'arrive pas à me brancher sur un thème comme celui là . Je ne suis pas allée plus loin que quelques pages.
Sabine 2006-03-18
J\'avoue qu\'il m\'a fallu m\'y reprendre à trois fois pour venir à bout de ce livre. Je trouve le livre inégal, ce qui est probablement lié au fait que c\'est un journal. Certains passages sont vraiment extraordinaires, mais à d\'autres moments je n\'ai pas du tout accroché. Au total c\'est un témoignage remarquable, une attitude fantastique par rapport aux épreuves de la vie et c\'est bien intéressant de voir l\'évolution de son cheminement.
Retard Pierre 01-Mar-2006
pas lu Nicole 2006-11-23
J\'ai réussi à me rendre à la page 64 mais pas plus loin. Je vais essayer encore et je vous en redonne des nouvelles
Retard Denis 01-May-2006
Rémy 2006-04-24
J\'ai trouvé très interessant cette démarche qui consiste à trouver toujours le bon coté de la vie. D\'autant plus que Etty se trouve en situation de confronter vraiment ses théories à la pratique dans des circonstances extrèmes. Je vois ça comme de la philosophie de terrain, voire même de tranchées. Contrairement à de la psychologie \'caviar\' de moi sur moi et autre guerrier pacifique que l\'on peu pratiquer dans son petit confort avec toujours la possibilté d\'abandonner. Ici, pas le choix d\'être pragmatique et d\'aller jusqu\'au bout. Au passage, une phrase que j\'ai bien aimé: \"La révolte qui attent pour naître le moment où le malheur vous touche personnellement n\'a rien d\'authentique et ne portera jamais de fruit.\"(p270). Au total, un ouvrage parfois difficile à lire, mais dont on garde quelque chose.
Retard Ludo 01-Jul-2006
Retard Jacqueline 01-Aug-2006
Retard Mathilde 01-Sep-2006
Vincent 2005-12-05
Bon je recommence. Je viens de passer une demi-heure à écrire mon commentaire, c’est trop long pour le site qui a considéré que je n’étais plus présent et l’a effacé sans rien me dire... :-( Drôle de titre ou plutôt drôle de participe car je trouve l’oeuvre d’Etty Hillesum plus bouleversante que sa vie n’est bouleversée. Bien sûr la seconde guerre mondiale, bien sûr le contraste avec la petite vie d’intellectuelle célibataire rangée, bien sûr la ségrégation, la déportation, les camps, le génocide… Mais Etty se hisse au-delà de l’horreur de son époque pour célébrer la vie. Elle ne fuit pas, ne se sentant pas d’une essence supérieure à celle du prochain qui la remplacerait. Elle ne se réfugie pas dans un délire spirituel pour nier cette réalité funeste. Elle ne se bricole pas une béquille religieuse ou politique pour expliquer ou excuser la Shoah. On se sent en droit d’être révolté, de l’accuser de passivité, de démission, voire de collaboration. Mais elle témoigne d’une quête intellectuelle et spirituelle, d’une vie qu’elle veut considérer dans son ensemble, complète et dont elle refuse de retirer tel ou tel aspect dérangeant ou douloureux. En ce sens elle assure à l’humanité une cohésion et une cohérence, exactement à l’inverse du projet nazi qui était - est - de retrancher de l’humanité une part ce celle-ci. « Je suis de taille à affronter notre époque, je la comprends même un peu. Si j’y survis et que je dise encore : la vie est belle et pleine de sens, on me croira sur parole. » (p.190) Une autre idée, que l’on retrouve aussi dans « les racines du ciel » de Romain Gary », c’est l’Après : après l’horreur. Non pas simplement l’espoir de jours meilleurs pour porter le poids de ceux de l’instant, mais le témoignage de la dignité, nécessaire et seule réponse à la barbarie, qui pourra transmettre l’espoir. Pensez aux hannetons et à l’Allemagne sur le dos. ;-) Avec « le voyage au bout de la nuit » auquel nous convie Céline, voici 3 oeuvres qui nous aident à saisir et à traverser notre époque troublée qui ressemble aux premiers moments de la vie plus bouleversante que bouleversée d’Etty Hillesum PS : Ne négligez pas les lettres de Westerbork et surtout pas celle du 24 août 1943 (p. 323) qui vous conduira à la conclusion.
Muriel 2006-08-08
Pour reprendre la belle formulation de Pierre: non seulement un coup de coeur mais \"un coup au coeur\", de celui qui réveille ce dernier qui ne demande qu\'à battre encore plus fort. Un des plus beaux livres qui me fut donné de lire, et pour revivre encore de belles lectures, je demande à ce que ce cercle continue après le départ des fondateurs ( et avec eux, via internet?). Quelle leçon de vie spirituelle! Quelle fraicheur d\'amour inconditionnel, celui qui guérit, celui qui ouvre et permet tous les possibles. je fus autant touchée par la beauté du processus de \"spiritualisation\" à travers sa relation à S que par le service rayonnant dont Etty a fait preuve dans le camp de transition, sans doute parce-que je me sens, bien modestement à mon rythme et selon mes capacités, sur le même chemin. Merci Mathilde pour ce partage et bon voyage à Sabine et Rémy!
Ouf... difficile de donner un compte-rendu cohérent. J\'ai eu du mal à rentrer dans ce livre, à m\'attacher au personnage. Sur les 100-150 premières pages, avant que l\'on sente l\'emprise de la guerre, je voyais surtout une jeune intellectuelle se regardant écrire avec une auto-satisfaction certaine, et apparemment plus intéressée par elle-même que par le reste du monde. La suite du Journal et les Lettres sont d\'une essence très différente. Détachée dans son style, très mystique, Etty parvient à nous faire ressentir l\'horreur, le quotidien insoutenable, l\'angoisse du camp. Difficile pour moi de comprendre son état d\'esprit, mais c\'est un témoignage coup de poing.
pas lu Christine 2006-03-01
Pas possible. Je n\'arrive pas à me brancher sur un thème comme celui là . Je ne suis pas allée plus loin que quelques pages.
Sabine 2006-03-18
J\'avoue qu\'il m\'a fallu m\'y reprendre à trois fois pour venir à bout de ce livre. Je trouve le livre inégal, ce qui est probablement lié au fait que c\'est un journal. Certains passages sont vraiment extraordinaires, mais à d\'autres moments je n\'ai pas du tout accroché. Au total c\'est un témoignage remarquable, une attitude fantastique par rapport aux épreuves de la vie et c\'est bien intéressant de voir l\'évolution de son cheminement.
Retard Pierre 01-Mar-2006
pas lu Nicole 2006-11-23
J\'ai réussi à me rendre à la page 64 mais pas plus loin. Je vais essayer encore et je vous en redonne des nouvelles
Retard Denis 01-May-2006
Rémy 2006-04-24
J\'ai trouvé très interessant cette démarche qui consiste à trouver toujours le bon coté de la vie. D\'autant plus que Etty se trouve en situation de confronter vraiment ses théories à la pratique dans des circonstances extrèmes. Je vois ça comme de la philosophie de terrain, voire même de tranchées. Contrairement à de la psychologie \'caviar\' de moi sur moi et autre guerrier pacifique que l\'on peu pratiquer dans son petit confort avec toujours la possibilté d\'abandonner. Ici, pas le choix d\'être pragmatique et d\'aller jusqu\'au bout. Au passage, une phrase que j\'ai bien aimé: \"La révolte qui attent pour naître le moment où le malheur vous touche personnellement n\'a rien d\'authentique et ne portera jamais de fruit.\"(p270). Au total, un ouvrage parfois difficile à lire, mais dont on garde quelque chose.
Retard Ludo 01-Jul-2006
Retard Jacqueline 01-Aug-2006
Retard Mathilde 01-Sep-2006
Vincent 2005-12-05
Bon je recommence. Je viens de passer une demi-heure à écrire mon commentaire, c’est trop long pour le site qui a considéré que je n’étais plus présent et l’a effacé sans rien me dire... :-( Drôle de titre ou plutôt drôle de participe car je trouve l’oeuvre d’Etty Hillesum plus bouleversante que sa vie n’est bouleversée. Bien sûr la seconde guerre mondiale, bien sûr le contraste avec la petite vie d’intellectuelle célibataire rangée, bien sûr la ségrégation, la déportation, les camps, le génocide… Mais Etty se hisse au-delà de l’horreur de son époque pour célébrer la vie. Elle ne fuit pas, ne se sentant pas d’une essence supérieure à celle du prochain qui la remplacerait. Elle ne se réfugie pas dans un délire spirituel pour nier cette réalité funeste. Elle ne se bricole pas une béquille religieuse ou politique pour expliquer ou excuser la Shoah. On se sent en droit d’être révolté, de l’accuser de passivité, de démission, voire de collaboration. Mais elle témoigne d’une quête intellectuelle et spirituelle, d’une vie qu’elle veut considérer dans son ensemble, complète et dont elle refuse de retirer tel ou tel aspect dérangeant ou douloureux. En ce sens elle assure à l’humanité une cohésion et une cohérence, exactement à l’inverse du projet nazi qui était - est - de retrancher de l’humanité une part ce celle-ci. « Je suis de taille à affronter notre époque, je la comprends même un peu. Si j’y survis et que je dise encore : la vie est belle et pleine de sens, on me croira sur parole. » (p.190) Une autre idée, que l’on retrouve aussi dans « les racines du ciel » de Romain Gary », c’est l’Après : après l’horreur. Non pas simplement l’espoir de jours meilleurs pour porter le poids de ceux de l’instant, mais le témoignage de la dignité, nécessaire et seule réponse à la barbarie, qui pourra transmettre l’espoir. Pensez aux hannetons et à l’Allemagne sur le dos. ;-) Avec « le voyage au bout de la nuit » auquel nous convie Céline, voici 3 oeuvres qui nous aident à saisir et à traverser notre époque troublée qui ressemble aux premiers moments de la vie plus bouleversante que bouleversée d’Etty Hillesum PS : Ne négligez pas les lettres de Westerbork et surtout pas celle du 24 août 1943 (p. 323) qui vous conduira à la conclusion.
Muriel 2006-08-08
Pour reprendre la belle formulation de Pierre: non seulement un coup de coeur mais \"un coup au coeur\", de celui qui réveille ce dernier qui ne demande qu\'à battre encore plus fort. Un des plus beaux livres qui me fut donné de lire, et pour revivre encore de belles lectures, je demande à ce que ce cercle continue après le départ des fondateurs ( et avec eux, via internet?). Quelle leçon de vie spirituelle! Quelle fraicheur d\'amour inconditionnel, celui qui guérit, celui qui ouvre et permet tous les possibles. je fus autant touchée par la beauté du processus de \"spiritualisation\" à travers sa relation à S que par le service rayonnant dont Etty a fait preuve dans le camp de transition, sans doute parce-que je me sens, bien modestement à mon rythme et selon mes capacités, sur le même chemin. Merci Mathilde pour ce partage et bon voyage à Sabine et Rémy!
Les racines du ciel - Romain Gary - Vincent 6 0 6
Emmanuel 2006-08-27
Un chef d\'oeuvre! Romain Gary aborde des thèmes complexes dans ce roman fourmillant de personnages bien typés. Très précurseur pour tout ce qui touche à l\'écologie et à l\'environnement.
Retard Christine 01-Dec-2005
Sabine 2006-10-08
Je n\'ai pas eu le temps de finir ce livre, l\'ouvrage est gros et difficile à trouver en bibliothèque, je ne voulais surtout pas mettre en retard l\'ensemble du cercle ;-) Globalement cela m\'a donné le goût de m\'y replonger même si je me suis un peu perdue dans l\'ensemble des personnages.
Retard Pierre 01-Feb-2006
Nicole 2007-06-10
Je l\'ai enfin lu et j\'ai adoré. Un livre très actuel et qui fait réfléchir. Merci de m\'avoir fait découvrir cet auteur !
Retard Denis 01-Apr-2006
Rémy 2006-08-20
Très bien. Ça me rappelle un autre livre, Noir prophète (Cercle MDS 2005) dans lequel on retrouve certains ingrédients, comme le rôle des médias, et les conséquences de l\'action d\'un illuminé. J\'ai trouvé très intéressant les contradictions entre l\'écologie et le nationalisme. On peu effectivement se demander si les éléphants ont encore une place dans notre monde, comme les bisons.
Retard Ludo 01-Jun-2006
Retard Jacqueline 01-Jul-2006
Retard Mathilde 01-Aug-2006
Vincent 2006-08-30
Probablement un des plus beaux livres que j’ai eu l’occasion de lire dans ma vie… Je l’ai acheté de passage à Paris sur la base d’une rapide évocation entendue dans la fameuse émission « Là -bas si j’y suis » de France Inter que j’écoute quotidiennement. Je ne me souviens pas des mots employés, mais je m’étais dit à ce moment qu’il fallait certainement jeter un oeil à ce titre et à cet auteur double dont j’ignorais tout. Depuis, j’ai plongé avec plaisir dans les autres ouvrages de Romain Gary et me suis intéressé à sa très riche biographie qui explique bien des thèmes des racines du ciel. Pourquoi ai-je trouvé ce livre magnifique? Tout d’abord, c’est sans doute le premier roman écolo de la littérature. Mais ça n’en fait pas un chef d’œuvre. Ensuite, j’ai beaucoup appréciée l’intervention mélangée de toutes ces discussions, toutes ces histoires racontées de manière indirecte qui, par touches successives, mais toujours de biais, nous laisse entrevoir peu à peu le personnage caché de Morel. Mais ce qui place cette histoire très haut dans mon estime et mon intérêt, c’est sa réflexion sur l’humanité, à travers la place des éléphants et le tout, juste après la Seconde Guerre Mondiale. Replaçons-nous à cette époque. La bête nazie est vaincue, le monde libre vainqueur est sur les genoux, tout est à reconstruire, ce qui donne l’élan et l’espoir d’après-guerre qui ont conduit à la mise en place des systèmes de retraites, de la sécu. Bref le « plus jamais ça » et la reconstruction laissent place à un nouveau monde à créer ou rien n’est impossible à celles et ceux qui ont affronté la mort de près. Mais cet après-guerre est le premier après-guerre après celui de la Der des Der, si vous me suivez bien. En 1918, la Grande Guerre, devenue Première par la suite, était pourtant celle qui fermait le ban des conflits armés entre les peuples. C’était fini ce genre de boucherie, désormais la Société Des Nations allait permettre de régler les différents... On peut sourire, mais n’oublions pas qu’à la chute du Mur de Berlin, nous avons connu le même genre d’euphorie qu’on a même appelé sans rire « la fin de l’histoire »… Bref, un après-guerre après celui de la Der des Der, voilà un spectre bien inquiétant qui vient gâcher l’espoir né de la reconstruction. D’autant plus qu’à la différence de 1918 (et de 1989), il apparaît à tout le monde les risques à venir, immédiats, tangibles : le feu nucléaire qui pour la première fois permet de raisonnablement envisager la disparition de la vue sur Terre et la rivalité Est-Ouest, entre les alliés des démocraties occidentales et les pays communistes. On en a fini pour cette fois, mais on sait désormais que ça n’a rien de définitif. La dernière touche au tableau est que cette guerre a été celle du fichage. Fichage des Juifs et des Tziganes d’abord avec les terribles conséquences que cet internement tout d’abord virtuel a pu avoir lors qu’il est devenu physique. Mais aussi fichage des soldats de tous les pays, sérialisation, production en masse des munitions, des armes, des véhicules, des avions, des navires même. Puis fichage des civils, cartes de rationnement, listes de réfugiés… Sur ce sujet, je vous conseille de lire la 25ème heure, de Virgil Gheorgiu. Cette guerre a vu la victoire de l’organisation matérielle, de la série, du volume maîtrisé à la différence des précédentes dans lesquelles les aspects tactiques, les caractéristiques humaines ou des circonstances particulières avaient su faire la différence. Cette angoisse qui pèse sur les hommes et femmes de 1950 se joue sur fond de progrès technologique. Depuis le tournant du siècle, les inventions n’ont cessé de foisonner, notamment dans la vie quotidienne : électricité, téléphone, voiture, électroménager, télévision, avion, vaccination, médicaments, réacteur, fusée, énergie atomique. Libératrice et fascinante, la technologie envahit tous les aspects de la vie. Mais le monde est devenu fini, clos. Les premières images des premiers satellites nous l’ont confirmé : il est rond et limité… Alors ce progrès technologique si prometteur fait tâche d’huile et ne laisse rapidement plus qu’une marge. Ce roman parle de cette marge. De sa découverte grâce à un homme, Morel, qui comprend viscéralement que la marée du progrès va la faire disparaître à tout jamais. La marge. C’est le mot-clef de toute cette histoire. La place que nous, humains intelligents et technologiquement avancés, sommes encore capable de lui laisser, tout absorbés à la disparition de ce qui la constitue, à savoir le sauvage, le non-droit, l’anarchie, la liberté. La marge, ce sont les derniers éléphants, trop grands, trop maladroits et trop libres, jamais domestiqués, dont la rationalité et l’appât du gain du progrès font disparaître les espaces de vie puis de survie. La marge, c’est aussi le dernier individu libre, trop grand, trop maladroit et trop libre pour ses congénères domestiqués qui n’ont plus de place dans une société rangée, étiquetée, fichée et dont le seul leitmotiv et le nerf vital est l’argent. C’est pour cela que ce Morel, anarchiste, radical, se confond avec cette cause des éléphants. C’est pour cela que presque tous, à de rares exceptions près, à quelque poste qu’il soit, se sent menacé par lui. Non content de freiner la marée du progrès sur un dernier banc de sable, c’est tout l’échafaudage du sens de ce progrès qu’il sabote par sa liberté absolue et sa radicalité. Certains s’en approchent comme un frère d’arme en pensée; d’autres pour l’utiliser à leurs propres causes et leurs propres quêtes de liberté limitée. Les autres s’y opposent farouchement de peur de voir, plus ou moins consciemment, s’écrouler les fondations de la justification de leur monde. Seuls les esprits déjà dans cette marge, comme la femme allemande ou le prêtre narrateur le comprennent. Et puis, il ne faut jamais oublier qu’il y avait eu les hannetons auparavant!… Cette histoire de hannetons retournés, cette bravade des prisonniers sans pouvoir devant l’autorité absolue m’a beaucoup marqué. D’abord par la force de cet acte de non-violence, mais surtout par sa conclusion apportée par le prêtre dans la chambrée : l’orgueil. Vaste sujet qui donne un autre regard sur toute cette lutte de Morel, sur les ressorts de son courage et de sa radicalité. Aujourd’hui, quand je m’assois dans un parc national et que j’ai sous les yeux des phoques ou des baleines, sauvages, je repense à l’histoire de ce Morel, inspiré d’un personnage ayant réellement existé, à la place que nous sommes tout de même capable de laisser à cette marge, mais aussi à ce que nous faisons en deçà de cette marge pour notre propre humanité technologique.
Muriel 2006-08-08
Histoire étonnante, riche sociologiquement, psychologiquement et très dépaysante. J\'ai eu un peu de mal à m\'attacher aux personnages, de par leur nombre qui m\'a dépassée.
Un chef d\'oeuvre! Romain Gary aborde des thèmes complexes dans ce roman fourmillant de personnages bien typés. Très précurseur pour tout ce qui touche à l\'écologie et à l\'environnement.
Retard Christine 01-Dec-2005
Sabine 2006-10-08
Je n\'ai pas eu le temps de finir ce livre, l\'ouvrage est gros et difficile à trouver en bibliothèque, je ne voulais surtout pas mettre en retard l\'ensemble du cercle ;-) Globalement cela m\'a donné le goût de m\'y replonger même si je me suis un peu perdue dans l\'ensemble des personnages.
Retard Pierre 01-Feb-2006
Nicole 2007-06-10
Je l\'ai enfin lu et j\'ai adoré. Un livre très actuel et qui fait réfléchir. Merci de m\'avoir fait découvrir cet auteur !
Retard Denis 01-Apr-2006
Rémy 2006-08-20
Très bien. Ça me rappelle un autre livre, Noir prophète (Cercle MDS 2005) dans lequel on retrouve certains ingrédients, comme le rôle des médias, et les conséquences de l\'action d\'un illuminé. J\'ai trouvé très intéressant les contradictions entre l\'écologie et le nationalisme. On peu effectivement se demander si les éléphants ont encore une place dans notre monde, comme les bisons.
Retard Ludo 01-Jun-2006
Retard Jacqueline 01-Jul-2006
Retard Mathilde 01-Aug-2006
Vincent 2006-08-30
Probablement un des plus beaux livres que j’ai eu l’occasion de lire dans ma vie… Je l’ai acheté de passage à Paris sur la base d’une rapide évocation entendue dans la fameuse émission « Là -bas si j’y suis » de France Inter que j’écoute quotidiennement. Je ne me souviens pas des mots employés, mais je m’étais dit à ce moment qu’il fallait certainement jeter un oeil à ce titre et à cet auteur double dont j’ignorais tout. Depuis, j’ai plongé avec plaisir dans les autres ouvrages de Romain Gary et me suis intéressé à sa très riche biographie qui explique bien des thèmes des racines du ciel. Pourquoi ai-je trouvé ce livre magnifique? Tout d’abord, c’est sans doute le premier roman écolo de la littérature. Mais ça n’en fait pas un chef d’œuvre. Ensuite, j’ai beaucoup appréciée l’intervention mélangée de toutes ces discussions, toutes ces histoires racontées de manière indirecte qui, par touches successives, mais toujours de biais, nous laisse entrevoir peu à peu le personnage caché de Morel. Mais ce qui place cette histoire très haut dans mon estime et mon intérêt, c’est sa réflexion sur l’humanité, à travers la place des éléphants et le tout, juste après la Seconde Guerre Mondiale. Replaçons-nous à cette époque. La bête nazie est vaincue, le monde libre vainqueur est sur les genoux, tout est à reconstruire, ce qui donne l’élan et l’espoir d’après-guerre qui ont conduit à la mise en place des systèmes de retraites, de la sécu. Bref le « plus jamais ça » et la reconstruction laissent place à un nouveau monde à créer ou rien n’est impossible à celles et ceux qui ont affronté la mort de près. Mais cet après-guerre est le premier après-guerre après celui de la Der des Der, si vous me suivez bien. En 1918, la Grande Guerre, devenue Première par la suite, était pourtant celle qui fermait le ban des conflits armés entre les peuples. C’était fini ce genre de boucherie, désormais la Société Des Nations allait permettre de régler les différents... On peut sourire, mais n’oublions pas qu’à la chute du Mur de Berlin, nous avons connu le même genre d’euphorie qu’on a même appelé sans rire « la fin de l’histoire »… Bref, un après-guerre après celui de la Der des Der, voilà un spectre bien inquiétant qui vient gâcher l’espoir né de la reconstruction. D’autant plus qu’à la différence de 1918 (et de 1989), il apparaît à tout le monde les risques à venir, immédiats, tangibles : le feu nucléaire qui pour la première fois permet de raisonnablement envisager la disparition de la vue sur Terre et la rivalité Est-Ouest, entre les alliés des démocraties occidentales et les pays communistes. On en a fini pour cette fois, mais on sait désormais que ça n’a rien de définitif. La dernière touche au tableau est que cette guerre a été celle du fichage. Fichage des Juifs et des Tziganes d’abord avec les terribles conséquences que cet internement tout d’abord virtuel a pu avoir lors qu’il est devenu physique. Mais aussi fichage des soldats de tous les pays, sérialisation, production en masse des munitions, des armes, des véhicules, des avions, des navires même. Puis fichage des civils, cartes de rationnement, listes de réfugiés… Sur ce sujet, je vous conseille de lire la 25ème heure, de Virgil Gheorgiu. Cette guerre a vu la victoire de l’organisation matérielle, de la série, du volume maîtrisé à la différence des précédentes dans lesquelles les aspects tactiques, les caractéristiques humaines ou des circonstances particulières avaient su faire la différence. Cette angoisse qui pèse sur les hommes et femmes de 1950 se joue sur fond de progrès technologique. Depuis le tournant du siècle, les inventions n’ont cessé de foisonner, notamment dans la vie quotidienne : électricité, téléphone, voiture, électroménager, télévision, avion, vaccination, médicaments, réacteur, fusée, énergie atomique. Libératrice et fascinante, la technologie envahit tous les aspects de la vie. Mais le monde est devenu fini, clos. Les premières images des premiers satellites nous l’ont confirmé : il est rond et limité… Alors ce progrès technologique si prometteur fait tâche d’huile et ne laisse rapidement plus qu’une marge. Ce roman parle de cette marge. De sa découverte grâce à un homme, Morel, qui comprend viscéralement que la marée du progrès va la faire disparaître à tout jamais. La marge. C’est le mot-clef de toute cette histoire. La place que nous, humains intelligents et technologiquement avancés, sommes encore capable de lui laisser, tout absorbés à la disparition de ce qui la constitue, à savoir le sauvage, le non-droit, l’anarchie, la liberté. La marge, ce sont les derniers éléphants, trop grands, trop maladroits et trop libres, jamais domestiqués, dont la rationalité et l’appât du gain du progrès font disparaître les espaces de vie puis de survie. La marge, c’est aussi le dernier individu libre, trop grand, trop maladroit et trop libre pour ses congénères domestiqués qui n’ont plus de place dans une société rangée, étiquetée, fichée et dont le seul leitmotiv et le nerf vital est l’argent. C’est pour cela que ce Morel, anarchiste, radical, se confond avec cette cause des éléphants. C’est pour cela que presque tous, à de rares exceptions près, à quelque poste qu’il soit, se sent menacé par lui. Non content de freiner la marée du progrès sur un dernier banc de sable, c’est tout l’échafaudage du sens de ce progrès qu’il sabote par sa liberté absolue et sa radicalité. Certains s’en approchent comme un frère d’arme en pensée; d’autres pour l’utiliser à leurs propres causes et leurs propres quêtes de liberté limitée. Les autres s’y opposent farouchement de peur de voir, plus ou moins consciemment, s’écrouler les fondations de la justification de leur monde. Seuls les esprits déjà dans cette marge, comme la femme allemande ou le prêtre narrateur le comprennent. Et puis, il ne faut jamais oublier qu’il y avait eu les hannetons auparavant!… Cette histoire de hannetons retournés, cette bravade des prisonniers sans pouvoir devant l’autorité absolue m’a beaucoup marqué. D’abord par la force de cet acte de non-violence, mais surtout par sa conclusion apportée par le prêtre dans la chambrée : l’orgueil. Vaste sujet qui donne un autre regard sur toute cette lutte de Morel, sur les ressorts de son courage et de sa radicalité. Aujourd’hui, quand je m’assois dans un parc national et que j’ai sous les yeux des phoques ou des baleines, sauvages, je repense à l’histoire de ce Morel, inspiré d’un personnage ayant réellement existé, à la place que nous sommes tout de même capable de laisser à cette marge, mais aussi à ce que nous faisons en deçà de cette marge pour notre propre humanité technologique.
Muriel 2006-08-08
Histoire étonnante, riche sociologiquement, psychologiquement et très dépaysante. J\'ai eu un peu de mal à m\'attacher aux personnages, de par leur nombre qui m\'a dépassée.
Sanaaq - Mitiarjuk Nappaaluk - Muriel 6 0 6
Retard
Emmanuel 01-Oct-2005
Christine 2006-03-01
Il m\'a fallu plus d\'un mois mais je l\'ai terminé et je l\'ai trouvé instructif à lire. Cela n\'a rien d\'un roman, c\'est la description de moments successifs dans la vie d\'une tribu inuite. L\'introduction et la conclusion apportent des informations supplémentaires. Bref je n\'aurais pas eu l\'idée d\'aller chercher un livre de ce genre là mais j\'ai beaucoup aimé. Et dire que les évènements qu\'il relate se passaient il y a environ ... 50 ans!
Sabine 2006-01-04
J\'avoue que je ne suis pas allée au bout (ne voulant pas transmettre le livre en retard!). Ce livre m\'a replongé dans l\'ambiance du film «La légende de l\'homme rapide», film que j\'ai beaucoup aimé, mais j\'ai trouvé difficile de s\'accrocher au livre à la fois à cause du style (déconcertant... mais intéressant) et des noms des personnages difficiles à retenir.
Retard Pierre 01-Jan-2006
Nicole 2006-05-30
Oh la la; j\'avais beaucoup d\'enthousiasme pour ce livre, mais après le premier chapitre celle-ci s\'envola. L\'écriture est tellement simplistique que j\'ai perdu goût de lire... Dommage, l\'idée était bonne
pas lu Denis 2006-06-19
J\'ai été incapable de lire ce lire. Que quelque pages seulement.
pas lu Rémy 2006-06-18
Je n\'ai pas réussi à lire plus de quelues pages. C\'est dommage parceque on sent que le fond est interéssant. Mais la forme est vraiment trop ardue. Il faut être ethnologue pour passer à travers ça.
Retard Ludo 01-May-2006
Retard Jacqueline 01-Jun-2006
Retard Mathilde 01-Jul-2006
pas lu Vincent 2006-11-24
Pas vu, pas lu...
Retard Muriel 01-Sep-2006
Christine 2006-03-01
Il m\'a fallu plus d\'un mois mais je l\'ai terminé et je l\'ai trouvé instructif à lire. Cela n\'a rien d\'un roman, c\'est la description de moments successifs dans la vie d\'une tribu inuite. L\'introduction et la conclusion apportent des informations supplémentaires. Bref je n\'aurais pas eu l\'idée d\'aller chercher un livre de ce genre là mais j\'ai beaucoup aimé. Et dire que les évènements qu\'il relate se passaient il y a environ ... 50 ans!
Sabine 2006-01-04
J\'avoue que je ne suis pas allée au bout (ne voulant pas transmettre le livre en retard!). Ce livre m\'a replongé dans l\'ambiance du film «La légende de l\'homme rapide», film que j\'ai beaucoup aimé, mais j\'ai trouvé difficile de s\'accrocher au livre à la fois à cause du style (déconcertant... mais intéressant) et des noms des personnages difficiles à retenir.
Retard Pierre 01-Jan-2006
Nicole 2006-05-30
Oh la la; j\'avais beaucoup d\'enthousiasme pour ce livre, mais après le premier chapitre celle-ci s\'envola. L\'écriture est tellement simplistique que j\'ai perdu goût de lire... Dommage, l\'idée était bonne
pas lu Denis 2006-06-19
J\'ai été incapable de lire ce lire. Que quelque pages seulement.
pas lu Rémy 2006-06-18
Je n\'ai pas réussi à lire plus de quelues pages. C\'est dommage parceque on sent que le fond est interéssant. Mais la forme est vraiment trop ardue. Il faut être ethnologue pour passer à travers ça.
Retard Ludo 01-May-2006
Retard Jacqueline 01-Jun-2006
Retard Mathilde 01-Jul-2006
pas lu Vincent 2006-11-24
Pas vu, pas lu...
Retard Muriel 01-Sep-2006