Version Texte du cercle de lecture
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J'ai trouvé amusant toutes ces références au années 70.C'est un peu bizarre car finalement l'histoire sert juste de prétexte à l'auteur pour étaler ses états d'âme. C'est aussi étonnant de voir comment beaucoup de choses sont toujours très actuelles. |
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C'était mon premier livre de Sagan, ce n'était probablement pas le meilleur choix mais ça m'a quand même donné envie d'en lire d'autres. |
Je n'ai pas trop aimé le va et vient entre l'histoire et les réflexions de Françoise Sagan sur cette histoire, la société et sa propre vie. Mais comme c'était mon premier livre dans le cadre du cercle de lecture, je l'ai lu jusqu'au bout ;-). |
Moi j'ai bien aimé ce va et vient, surtout par une Sagan en fin de parcours. Blasé, et un peu acerbe. Cela montre quelques ficelles et états d'âmes des romanciers. |
J'aime toujours Françoise Sagan et la retrouver avec ses personnages et ses ambiances a toujours un effet direct sur moi: je vois ces salons parisiens, les cafés et les rues de Paris, je vis au rythme de ses personnages et ils semblent être mes amis. |
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J'ai beaucoup aimé et suis ravie de lire enfin un livre de Sagan. J'avais lu son 1er il y a très longtemps, je ne m'en souviens plus. Quelle écrivaine incroyable : sa façon de nous rallier en ami intime en si peu de lignes, son ironie, ses positions (sa frivolité, ses compagons d'alccol...) qui peuvent paraitre scandaleuses mais qui ne sont jamais jugeantes (voire culpabilisantes), son authenticité et franchise, sa liberté quoi! : cela m'a fait beaucoup de bien. |
« Ce n'est parce que la vie n'est pas élégante qu'il faut se conduire comme elle. » |
C'est évident qu'elle maitrise l'écriture, Mme Sagan, mais ce qu'elle en fait n'est pas pour moi. Son arrogance m'a presque forcée à arrêter après une vingtaine de pages. Je pense que le temps a fait son temps avec elle. Ou pet-être ne suis-je pas assez post-moderne pour apprécier une écrivaine qui anime puis délaisse ses personnages tout en réfléchissant ironiquement à son statut en tant qu'auteure à succès...bla, bla, bla, quelle sombre masturbation littéraire. |
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