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Cercle de Lecture

Noisy-le-Grand 2014

La femme gauchère - Natacha - 22-Jan-2014

Alors moi, les émotions, j'ai eu beaucoup de mal à les lire, même entre les lignes.
L'écriture très dépouillée, presque médicale, froide et distante, m'ont glacé le sang.
Cette relation avec l'enfant, ce détachement et cet abandon de tout... m'ont laissé un goût amer.
Certes, on se dit que le mari ne l'a pas volé... lui qui semble tellement éloigné d'elle, mais tout de même,ce manque de vie dans tout m'a été lourd à porter.
L'écriture, le style donne un coté mécanique, inhumain à cette relation qui n'en est pas une.
Bref, moi, ça me laisse de marbre, je me sens juste désolée pour elle, et je n'arrive pas à y trouver autre chose. Je suis vraiment polluée par son désespoir.

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La femme gauchère - Marianne - 20-Jan-2014

J'ai beaucoup aimé ce livre, écrit d'une manière cinématographique.
Les émotions sont bien là, entre les lignes, ou peut-être seulement dans nos têtes, en tout cas, pas dans les mots.
La liberté, la solitude, le bonheur,... voilà les thèmes de ce livre qui nous fait réfléchir sur notre propre vie, notre propre liberté, notre propre solitude.

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La femme gauchère - mael -

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La femme gauchère - Sylvie -

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La femme gauchère - Florence - 16-Jan-2014

Cela fait presque un mois que je l'ai lu, alors j'ai un peu oublié. Je me suis un peu ennuyée à la lecture de ce livre, et je ne vois pas très bien pour quelle raison il a traversé les décennies. Le sujet est intéressant bien sûr, mais il mérite un contexte plus actuel. Ceci dit avec toute la modestie d'une opinion qui n'engage que moi, bien sûr !

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La femme gauchère - Brigitte - 08-May-2014

J'ai beaucoup aimé ce livre, déconcertant, on ne comprend pas bien c'est vrai, cette succession de plans, ces dialogues décousus, ces scènes sont certaines semblent dans la réalité et d'autres dans le rêve, ces récurrences, de la machine à écrire, du caddy des courses, du fauteuil à bascule et cette scène étrange à la fin ou tous les personnages croisés se retrouvent....Je ne dirais pas que je serais allée au bout de 600 pages comme ça mais j'ai aimé m'imprégner de cet univers partiellement onirique, ce livre qui se lit comme on regarderait un film lent et plutôt silencieux.

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